Qui ne t’emmène nulle part.
Qui attend, attend, attend.
Sous la voute embrumée
Les fines lames de sel
Dessinant ton courage.
Des silhouettes dansantes
Je vois loin de moi.
Jusqu’à perdre encore
Tout ce qu’il reste.
Et tu ne retiendras
Que les mèches claires
De tes anciennes rêveries
Ce temps-là est fini
L’autre est dans la nuit.
Echappe-moi plus vite.
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