Il y aura des temps de peine et des temps de solitude.
Quand tu aimes, il faut rester.
Alors j’allonge les saisons de la mélancolie
Et en retour je ne veux rien.
Je suis un cheval sauvage
Qui s’éloigne de plus en plus loin
Dans cette infinie sagesse d’un travail inachevable.
Pour le moment.
Je me suis éloigné et j’ai perdu
Mes yeux se ferment à la lumière
Sans un seul brin de sagesse
Je continue de fuir.
Trouver de quoi souffler
Et encore galoper
Vers rien ni personne.
Ainsi va mon cœur.
J’ai mille regrets en moi
Mille souvenirs d’instants perdus
De voiles soulevés sans air
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