Sur sa peau
s’est effacé le parfum de ce que nous aurions pu être.
Ce matin les
larmes ne viendront pas
Et un jour
comme demain je sourirai
Avec le vent
naissant, seul ami disponible.
Il y a du
regret dans sa peur et dans ses choix.
Je ne peux
que lui souhaiter d’être ce qu’elle veut.
Des moments
de joie.
Dans un
autre pays je recommencerai.
Sur la
route, la musique et rien devant
Sauf la
lumière finissante du jour.
Quand le
sourire tiendra lieu de réponse
Je me
souviendrai encore.
Et ça passera. Toujours ça passera.
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