J'accroche
encore de pauvres soirs
Des
milliers d'espaces vides,
Des
nuits tranquilles et de ciel sombre.
Les
simples fleurs sont dans tes bras,
Et
les meilleurs de nos souvenirs
N'éclairent
plus assez.
Depuis
le temps que tu me manques,
Les
seules images sont près du livre
Que
tu n'as pas emporté.
Un
vendredi, une semaine vierge,
Les
jours s'enchaînent
Et
me consument.
Je
n'm que toi,
Et
dans le vague de ton absence,
Je
me déçois.
N'aimer
que toi,
Devient
la vie la moins cruelle
Les
pauvres soirs.
Tu
vis ailleurs
Là
où le cœur
Ne
peut te joindre.
Je
sais que j'aurais su te dire
Te
laisser faire
Me
laisser perdre.
Ma
seule douleur est dans le vague
De ton absence.
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