Dessous le ciel trop bleu et paré d’impatience
Malgré la froide valse que je dansais
encore
Sans oser devenir une première victoire
dont je sais qu’elle m’attend,
Je m’endors.
Et le sommeil de nuit vient détruire les
lumières d’une sale maladie.
La barrière tropicale des chemins de
descente
Monte jusqu’aux ténèbres de l’avenir
perdu.
Tu porteras le jour comme une mère son
enfant
Et je te sourirai avançant vers ta vie.
Loin des autres tumultes provoqués de l’absence
Et par un courage fort désormais
interdit
Je ne renoncerai plus.
Aux fins de mon voyage,
J’irai courir seul à perdre la
conscience
Dans une nature hostile et parfois
bienvenue
Sans te perdre à nouveau.
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