Et je
regarde s’élever les élans de nos peurs
Dans un
moment parfait de silence inutile
Quand elle devant
moi se tient et je m’égare
Puisque si
je m’enfuis
Vers un vide
intérieur
Dessous nos
uniques temps de ma ligne de vie
C’est que
sur un temps faible
Une musique
isolée
Devient le
seul espoir de cette sublime chance
Nommée le
sentiment
Rayé de tant
de jours de vies d’autres que moi
Alors si j’abandonne
Si je lâche
cette histoire légère et affaiblie
Pour revenir
plus fort
Je penserai
encore au passé glorieux
Dont je m’emparerai.
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