Si je tenais le temps entre mes doigts pliés
De faire quelques passages de mauvais sentiments
A la première fatigue, au seul essoufflement
Je laisserais ma tête sur ton épaule, peser.
Je dirai les seuls mots qui puissent convenir
Et tenant éloigné les pensées les plus sombres
Qui veulent me faire passer de la lumière à l’ombre,
Je parlerai de toi, de tes larmes et tes rires.
D’un signe ou d’un soupir tu me congédierais
Et après deux secondes d’intense réflexion
Nous recommencerions.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire