J'ai cherché
à comprendre et je n'ai pas trouvé
Et
aujourd'hui j'ai mal, je ne veux plus chercher.
Vers la
lumière cruelle dans laquelle je sombre
Ou vers la
seule maison qui veut bien m'accueillir,
Une seule
chose me retient et m'empêche de partir
Dans le vide
absolu.
Refaire les
mêmes gestes, fuir le monde et son ombre
Avec dans
les poches mes mains ensanglantées
Il suffit de
le faire et ne rien regretter.
Sauf l'amour
absolu.
Encore du
rouge aux joues après la longue absence
Ton sourire
devient clair et je souris aussi.
Rendez-vous à nulle part, au temps du sans-souci.
Rendez-vous à nulle part, au temps du sans-souci.
Et je te
reverrai avec ou sans silence.
Là encore je
dérive jusqu’à ne plus pleurer
À force de partir, à force de
t’aimer.