Elle
donne du voyage sans une égratignure
Et
laisse respirer le grand son du vertige.
Je
connais l’amer goût des soirs de prestige
Quand
à la fin de tout commence cette aventure.
Je
ne pense qu’à moi et déforme les mots,
Puisque
loin l’un de l’autre, rien ne sait secourir.
Si
l’amour de passage s’éloigne pour mourir
Alors
ne me dîtes pas qu’il est encore trop tôt.
Les
parfums et les soies me servent de lumière
Et
fabriquer des ombres dont je me sors enfin,
Me
remet de mes rêves pour mieux savoir la fin.
Dans
la chaleur du jour je me crois beau et fier.
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