Tu es de la lumière sans les reflets changeants
Et je tiens en moi les pâles figurines
De nos premiers désirs.
Tu es de la lumière des soirs du printemps
Des années d’entre nous aux mille origines
Sans rien à définir.
Tu es de la lumière du voyage exigeant
Vers le blanc infini de ta peau assassine
Que je veux retenir.
Les jours seront passés quand tu te poseras.
Quand tu auras les mots.
Et je t’attendrai là.
Et j'attendrai encore.
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