Je
regarde à l'envers ce Monde là s'agiter
Et
je compte le temps nous séparant encore
Jusqu'à
l'ultime seconde quand ton corps et mon corps
Se
colleront l'un l'autre pour ne plus se quitter.
Courir
jusqu'à plus soif, courir à perdre haleine,
Tenir
les souvenirs et les couvrir d'or,
Accueillir
sans attendre le plus doux des efforts
Et
partager ses jours, et contenir ses peines.
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