Dans
la boue incendiaire je prenais mes appuis.
Plus
d'envie, peur de rien et quelques sentiments
Qui
me tenaient à cœur dans le grand tremblement
Devenu
pathétique dans la tragique nuit.
La
vie, c'est quelque chose ! Du bordel et des cris
Quand
au loin ceux qu'on aime donnent des signes de rage
Et
font les gestes simples des amants de passage
Des
clins d'œil, des sourires, au revoir et merci.
La
douceur de ses mains qu'elle posait sur mes joues,
Le
confort de ses bras dans lesquels je plongeais
Avant
de m'endormir au milieu des secrets.
Sur
ce sol incendié je me tenais debout
Cherchant
dans l'horizon une couleur éternelle,
Un souffle fantastique et
des souvenirs d'elle.
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